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Marché immobilier : Logements en baisser ou en hausse?

Dernièrement, on ne peut pas vraiment parler d’un marché français immobilier mais plutôt d’un marchés immobiliers dite localisés (Par régions, villes ou même quartiers) qui affichent des tendances très différents. Selon des chiffres fiables, le nombre de ventes est en baisse: -25% à Paris, -21% en Île-de-France et -7% en début d’année 2012. Au Crédit Foncier, on table sur une baisse de 18% des ventes dans l’ancien en 2012.

 

Marché immobilier : Logements vont-ils baisser ou augmenter?

Exemples de prix médians au m² des appartements anciens au 1er trimestre 2012

 

Les prix ne baissent pas encore partout
L’évolution des prix connaît une tournure différente. «Les acquéreurs maintiennent leur pression à la baisse, mais les vendeurs résistent». Résultat, la courbe des prix ne prend pas partout la même direction. Dans plusieurs villes, elle s’incline vraiment vers le bas, car les acheteurs ne se pressent pas pour visiter les biens. C’est le cas, par exemple, à Saint-Étienne ou Montpellier aussi bien pour les appartements que pour les maisons anciennes. Alors que, à Bordeaux, par exemple la courbe continue sa progression. Les nombreux travaux d’amélioration réalisés dans le centre valorisent la ville et attirent les candidats à l’achat. Bonne tenue des prix aussi dans la capitale où, malgré la baisse des volumes, les prix progressent encore de 7 % et atteignent le prix médian de 8259 euros, d’après les notaires. En revanche, en Île-de-France, on assiste à une stabilisation des prix des appartements et des maisons.
Le marché de l’immobilier neuf est, quant à lui, bien en retrait. Particuliers et professionnels attendent des propositions et peut-être des coups de pouce fiscaux de la part du gouvernement pour se (re)lancer sur ce marché. Il va falloir attendre la fin de l’année et la prochaine loi de finances pour être fixé.

Les taux des crédits soutiennent le marché
Jusqu’ici, le marché immobilier se maintient, car les acheteurs peuvent encore profiter de taux de crédits très bas. Dès que ces taux remonteront, on peut penser que, à ce niveau de prix, le marché se grippera. Les vendeurs devront revoir leurs prétentions à la baisse ou retirer leur bien du marché.


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